La grande apothéose sera au rendez-vous, lorsque les sons du piano se mêleront à ceux de la clarinette et du quatuor à cordes respectivement d’Alice Burla et de son aîné Alexandre Kantorow. C’est donc un week-end riche en parcours pianistique, très intense, parfait et complet.
Dans la salle de concert illuminée de feux d’artifices, le 08 mai à 20 h précise, Wuja Wang au piano sera de répandre les secrets infinis de Bertrand Chamayou, en passant par la puissance de Chostakovitch. Enfin, ce sera la romantique poésie des Schumann, qui nous sera dévoilé.
Le samedi 9 mai, déjà à 11 h, au théâtre du casino, Alexandre Kantorow, se fera découvrir par le renouveau du piano. Il est qualifié de « Tsar de piano ». Alexandre poursuit une fulgurante carrière avec sa victoire au concours Tchaîkovski. Dans cette salle de concert, le jeune pianiste revient sur la musique de chambre. Que deviendra l’atmosphère lorsque le son de son piano se joint à ceux de la clarinette, du violon et du violoncelle.
À 15 h, dans la même salle, Lise DE LA SALLE, pianiste française, rend hommage aux diverses expressions musicales du 21èm siècle. À 20 h, c’est le retour sur scène de Wuja Wang, la pianiste chinoise. C’est un tourbillon dans lequel succède concerto de Chopin et de Chostakovitch. La pianiste s’est comment associer à ce tourbillon de l’intelligence musicale. C’est cela le génie musical.
Le dimanche 10, Quatuor Elmire aux côtés d’Alice Burla à 11 h, ouvre le concert dans une pureté musicale. Ce sera une rencontre harmonieuse entre piano d’Alice et le langage Scriabine. Dans la salle de concert La Grange au Lac, Bertrand Chamayou, doté d’un toucher sensible et élégant, a choisi de donner un programme poétique aux festivaliers.